Nous voici au dernier cercle de l’Ikigaï : ce pour quoi je peux être rémunérée. Après tout ce travail d’introspection (et ça continue 😉), il est temps d’accueillir le retour sur investissement !
Mais avant d’aller plus loin, si ce n’est déjà fait, je vous invite à compléter les autres cercles de l’Ikigaï. Cela vous aidera à alimenter la partie de votre Ikigaï : ce pour quoi je peux être payée. Vous trouverez toutes les ressources nécessaires dans mes précédents articles pour le faire :
- Pour avoir une présentation complète de cette méthode d’origine japonaise, cliquez ici
- Puis remplissez la première partie du schéma de l’Ikigaï en lisant Trouver mon Ikigaï : ce que j’aime faire
- Passez ensuite à la sphère Trouver mon Ikigaï : ce pour quoi je suis douée
- Enfin renseignez le cercle Trouver mon Ikigaï : ce dont le monde a besoin
Vous avez peut-être noté que j’ai mis beaucoup de temps à publier des informations sur Trouver mon Ikigaï : ce pour quoi je peux être rémunérée… Il y a une bonne raison à cela, je vous en parle en fin d’article 😉 ! Mais voici tout d’abord ce que je vous propose aujourd’hui :
- 🎯 Oser viser un équilibre financier personnel confortable
- Se sentir libre d’être payée pour faire quelque chose qui nous plaît
- Accepter et reconnaître sa valeur pour développer son estime de soi
- Quel équilibre financier personnel souhaitez-vous mettre en place ?
- 💰 Ikigaï – trouver ce pour quoi je peux être rémunérée, payée, valorisée
- Comment se tromper de voie professionnelle ?
- Le travail : torture ou épanouissement ?
- Identifier les compétences qui vous mettent dans le flow
- Clarifier la direction à prendre
- La motivation et l’équilibre de vie
- 🎁 Formation « Découvrez votre Ikigaï pour donner plus de sens à votre vie » !
🎯 Oser viser un équilibre financier personnel confortable
Pourquoi parler de rémunération dans l’Ikigaï ? Parce que c’est une forme de reconnaissance qui nous valorise pour ce que nous offrons au monde et surtout cela nous permet de vivre ! Pour autant, certaines personnes ne font pas entrer ce paramètre dans leur Ikigaï, et c’est tout à fait OK si l’argent leur vient d’une autre source. Leur activité visera peut-être à combiner la recherche de sens avec l’utilité, le plaisir…ou encore à créer les fondations de leur parcours professionnel (pour les élèves, les étudiants, les personnes en reconversion).
En revanche, pour d’autres personnes être payées n’est pas une option. Ce critère est alors primordial à leur équilibre de vie. Et dans ce cas, faire un travail alimentaire peut être satisfaisant tant qu’il permet d’alimenter les projets de vie. Mais il peut aussi être source de difficultés, de mal être, de dépression… Et il nous amène alors à attendre ! Attendre que ça aille mieux, attendre la retraite… attendre que la vie passe en quelque sorte…
Se sentir libre d’être payée pour faire quelque chose qui nous plaît
Nous pouvons toutes être actrices et conceptrices de notre vie ! Car si ce que nous aimons faire et faisons bien répond à un besoin du monde, alors nous créons de la valeur tout simplement ! Et à notre époque, ce qui permet de faire des échanges de valeurs n’est plus le troc (même s’il existe toujours) mais l’argent. Pour aller plus loin sur l’énergie de l’argent, je vous invite à lire mon article La belle énergie de l’argent.
Il est à la fois nécessaire d’avoir de l’argent pour subvenir à nos besoins et de répondre à un besoin pour gagner de l’argent. Prenons un exemple qui répond au besoin de se nourrir : le boulanger crée de la valeur en transformant de la farine en pain. Il est payé pour ses produits et c’est normal pour tout le monde. Même les personnes qui ne mangent pas de pain sont conscientes de cette réalité et l’acceptent !
Il est vrai que cela peut sembler moins évident lorsqu’il s’agit d’être rémunérée pour un service (notre travail de salariée ou d’indépendante) et non un produit. Pourtant la logique est la même ! Alors pourquoi parler d’argent est encore tabou ? Peut-être parce que cela évoque la création de valeur, la valeur de ce que l’on fait, notre valeur tout simplement ?
Ou encore parce que l’humain n’ayant pas son pareil pour utiliser l’humain comme outil, nous aboutissons à une exploitation de l’homme par l’homme à laquelle nous n’avons pas forcément envie de participer. Finalement dans ce contexte, l’humain se remplace comme une pièce de moteur, ce qui peut nous amener à penser qu’il n’a que la valeur de sa fonction dans l’économie…
Cette façon de voir les choses est très largement répandue, même si elle n’est pas souvent clairement exprimée. Et elle détruit des vies, en brisant l’estime de soi au moment où un changement nous fragilise et ne nous permet plus d’être aussi active et performante qu’auparavant (perte d’emploi, séparation, deuil…). D’où la nécessité absolue de ne pas laisser définir notre valeur par qui que ce soit d’autre que par nous-même !
Accepter et reconnaître sa valeur pour développer son estime de soi
Le terme valeur correspond à plusieurs réalités, plusieurs définitions et aussi plusieurs approches. Autant il est noble d’avoir des valeurs morales, autant afficher notre valeur semble délicat et en créer parfois décrier… C’est souvent encore plus vrai pour les femmes qui naturellement prennent soin de l’autre. Certes le don de soi (de son temps, de son énergie…) est très pratique pour tout un pan de la société. En revanche, il peut devenir problématique pour la personne qui est tellement dans le don d’elle-même qu’elle en a du mal à recevoir en retour.
Alors pour remplir avec plus de facilité cette sphère de l’Ikigaï : ce pour quoi je peux être rémunérée, il est nécessaire de transformer certaines perceptions ou croyances par rapport à l’argent. Par exemple :
- Non, l’argent n’est pas sale !
- Oui, l’argent contribue au bonheur !
- Non, il ne faut pas gagner sa vie (vous l’avez déjà gagnée puisque vous êtes là 😉) !
- Oui, l’argent peut se gagner de façon éthique en apportant de la valeur au monde…
Quel que soit notre âge, nous avons de la valeur car nous sommes vivants et avons donc réussi à surmonter tout un tas d’obstacles pour rester en vie ! Car pour survivre, nous devons savoir nous occuper de nous-même ou faire en sorte que quelqu’un le fasse pour nous. Si l’État français investit en nous : « Le montant net de la prime à la naissance s’élève à 948,28 € » (source : service-public.fr), nous pouvons estimer que nous avons de la valeur dès la naissance… Et je doute que l’État soit perdant au final !
Accepter notre valeur est le premier pas à faire pour sortir des « je suis nulle » et autres « j’y arriverai jamais » qui nous mènent à une spirale descendante. Et pour accepter notre valeur, il est nécessaire de la (re)connaître. Autrement dit, d’être conscientes de nos forces (pour plus de détails, je vous invite à lire Les forces de caractère en psychologie positive) et aussi de nos limites.
L’estime de soi se construit tout au long de la vie. Et même si le regard des autres contribue à la forger, l’estime de soi est avant tout la valeur que nous nous accordons à nous-même. D’où l’intérêt de la connaissance de soi que l’Ikigaï permet de développer 😉 ! Je vous propose donc d’aller dans le concret dès maintenant !
Quel équilibre financier personnel souhaitez-vous mettre en place ?
Pour que nos choix soient cohérents, nous devons définir l’équilibre de vie que nous souhaitons avoir. Rien de tel que de faire un rapide bilan pour savoir où nous en sommes au niveau financier. Voici 2 questions pour vous aider à clarifier votre situation :
- Quelles sont vos sources de revenus ? Listez tout ce pour quoi vous êtes payée actuellement : votre salaire, vos ventes en vide grenier (ou en ligne), vos allocations familiales (que vous touchez parce que vous prenez soin de vos enfants), vos rentrées complémentaires même très ponctuelles (location de matériel, travaux de couture, aide aux devoirs…)…
- De quels revenus avez-vous besoin pour vivre confortablement ? Commencez par noter toutes vos dépenses obligatoires qui constituent le seuil en dessous duquel vous ne devez pas descendre. Puis déterminer votre salaire idéal, de sorte qu’il soit réaliste par rapport à vos besoins. Pour avoir une vue condensée de vos besoins, référez-vous à la pyramide de MASLOW (j’en parle dans cet article Comment donner du sens à sa vie et s’accomplir ). Et pour terminer, définissez votre salaire médian, à mi-chemin entre le minimum et l’idéal.
Cet état des lieux est à faire régulièrement car les revenus comme les charges fluctuent. Les frais ne sont pas les mêmes pour un enfant en bas âge que pour un étudiant par exemple. Il vous appartient de trouver votre équilibre argent-bonheur, toujours en partant de votre situation et de vous-même. Regarder ce qui se fait autour de nous peut être source d’inspiration mais aussi nous conduire à des prises de risques inutiles ou encore à de la démotivation…
💰 Ikigaï – trouver ce pour quoi je peux être rémunérée, payée, valorisée
Les métiers se renouvellent sans cesse même si certains sont vieux comme le monde, et la tendance s’accélère. Alors ce n’est pas le choix qui manque ! Et pourtant ce n’est pas simple de trouver sa voie, s’orienter, se réorienter, se reconvertir… quel que soit le moment de la vie où la question se pose. Avant d’aller explorer les possibilités, je vous propose de visiter les impasses. Oui, oui, il est aussi important de savoir ce qui est possible, que ce qui nous freine 😉 !
Comment se tromper de voie professionnelle ?
A défaut d’avoir la recette inratable pour réussir sa vie professionnelle (je ne vais pas vous mentir…), je vous partage des pistes concrètes pour la rater 😉! La liste n’est certainement pas exhaustive… L’idée ici est de mettre un coup de projecteur sur les aspects critiques et les facteurs de risques à bien avoir en tête au moment de faire des choix.
- « Mes parents, mes professeurs, mon entourage… me conseillent ce métier ! » Vous êtes sûre que laisser les autres décider de votre avenir est la solution ? Certes vous pourrez toujours dire que ce n’est pas de votre faute… Mais c’est bien de votre responsabilité de choisir ce que vous allez faire de votre vie ! J’ai suivi les recommandations d’un conseiller d’orientation et je me suis retrouvée dans le secteur du transport routier sans l’avoir jamais envisagé…
- Attention aux professions de prestige ! Choisir entre avocate ou médecin pour l’image sociale que le métier renvoie n’est pas gage d’épanouissement… Évidemment, nous n’allons pas douter de son utilité ou du fait que ce soit une activité rémunératrice. Mais en termes de compétences à acquérir, il faut prendre en compte que le parcours de formation est long et difficile. C’est aussi vrai pour l’exercice du métier en lui-même, et encore plus s’il ne nous correspond pas ! Il n’est pas impossible que je sois allée vers le métier de prof pour cette raison…
- « J’ai investi des années de travail pour avoir ce concours ou ce diplôme, je ne suis pas prête à y renoncer, ce serait du gâchis ». Oui peut-être que vous avez un sentiment de gâchis par rapport à vos années d’études, mais rester dans cette profession uniquement pour cette raison risque d’allonger le temps gaspillé… Hummm, je ne vais pas vous cacher que j’ai passé plus de temps que nécessaire dans le domaine du transport…
- « J’ai un CDI (ou je suis fonctionnaire), ça ne se refuse pas par les temps qui courent ! » Alors la question de la sécurité me touche particulièrement, j’ai sans arrêt l’impression que je dois choisir entre sécurité et liberté… Et plus j’avance sur le sujet, plus je me heurte à mes croyances et au conditionnement de la société (à commencer par celui de la famille). Qu’est-ce qui est le plus sûr : compter sur soi ou sur les autres ? Je laisse le sujet ouvert sur cette question de société qui implique aussi la confiance en soi et en l’autre…
Ces quelques exemples permettent d’illustrer notre résistance au changement et à la reconnaissance de nos erreurs. Ce qui n’est pas simple en effet dans une société qui commence timidement à reconnaître l’apprentissage par l’échec, tout en continuant à prôner la réussite à tout prix ! Les taux de réussite au Bac en témoignent : depuis plusieurs années ils fluctuaient autour de 88%, et en 2020 (année de réforme des lycées et de crise sanitaire) ils atteignent 98,4% pour le Bac général (source letudiant.fr).
Le travail : torture ou épanouissement ?
Ici je vais faire court, très court même ! Selon le linguiste Alain Rey, le terme travailler vient du latin populaire tripaliare qui signifie torturer. D’ailleurs, le travail de l’accouchement, qui commence avec les premières contractions, est loin d’être le meilleur moment de notre vie de maman…
Et il est vrai que dans notre société, il est toujours question de « travailler dur pour gagner sa vie ». Alors comment faire pour que notre travail tende plus vers l’épanouissement que vers la torture ? Confusius nous propose une solution dans sa célèbre citation :
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie »
Identifier les compétences qui vous mettent dans le flow
Alors oui, certes il faut avoir des compétences pour exercer un métier. Et pas seulement des compétences techniques (hard skills), mais également de plus en plus de compétences transversales (soft skills). La bonne nouvelle, c’est qu’à tout âge nous pouvons développer nos compétences ou en acquérir de nouvelles 😉 !
Mais au moment de faire l’inventaire de nos compétences, il ne faut pas se cantonner à nos expériences professionnelles. Il est plus porteur de voir large et de prendre en compte chaque activité que nous avons réalisé à un moment de notre vie. En allant regarder jusque dans les détails ce qui nous plaisait le plus.
Cela nous ramène encore une fois au concept du flow, cette expérience optimale très plébiscitée en psychologie positive dont je vous parle dans cet article Découverte de la psychologie positive. Le flow est au carrefour de l’utilisation optimale de nos compétences dans des activités que nous aimons faire et qui nous challengent.
Et le flow est accessible dans de nombreuses situations et parfois sur des micro-activités. Je prends un exemple dans une de mes anciennes vies professionnelles : la livraison d’un correctif ou d’une nouvelle version de progiciel. La compréhension d’une nouveauté, son test et la rédaction d’un mode d’emploi pour les utilisateurs m’absorbaient totalement. Ce qui se résume à 3 mots clés : comprendre-tester-expliquer par écrit. Depuis, j’ai changé de support, je suis passé du progiciel à l’humain (moi-même pour commencer), le sujet est bien plus dense et passionnant !
Clarifier la direction à prendre
Voici donc les étapes à suivre pour faciliter votre cheminement :
- Faire la liste des métiers et activités exercés (en tant que salariée, stagiaire ou bénévole mais aussi dans vos différents rôles : maman, fille, femme…)
- Détailler les tâches que vous avez aimé faire (en spécifiant le contexte : type d’interactions, responsabilités, travail collectif ou solitaire, personnes côtoyées, environnement extérieur ou intérieur, bureau individuel ou open space…)
- Procéder de la même façon avec ce que vous avez détesté faire (le but est de relever tout ce qui nous a marqué de façon négative et de reconnaître les éléments qui ne sont pas favorables à notre épanouissement)
- Synthétiser sous forme de tableau à 2 entrées : « A rechercher » et « A fuir »
C’est certes fastidieux à faire, mais cela permet d’être au clair avec nous-même sur ce que nous voulons et ce que nous ne voulons pas. Inutile de changer de job pour se retrouver dans le même inconfort une fois le temps de la découverte passé ! Avoir les compétences pour le poste ne changera rien à la donne.
D’ailleurs, le fait d’avoir les compétences pour un emploi correspond à notre zone d’employabilité. L’objectif du bilan de compétences est justement de nous aider à faire correspondre nos compétences transférables avec les métiers « en tension » (en recherche de personnel), idéalement sur notre bassin d’emploi. En revanche, à aucun moment les dispositifs mis en place par l’État n’ont prévu de nous permettre de nous épanouir par le travail… C’est de notre entière et unique responsabilité 😉 !
La motivation et l’équilibre de vie
Notre épanouissement dans le travail passe par notre motivation profonde et par l’équilibre de vie que nous choisissons de mettre en place. Voilà encore des éléments qui évoluent et demandent à être revus régulièrement pour continuer à être en phase avec nous-même.
Quand j’ai commencé à travailler, j’avais la même ambition que pendant mes études : découvrir le monde ! Par les études de langues ou de transport, par les voyages, par les rencontres…j’étais toujours attirée par la nouveauté, par la découverte. C’est donc tout naturellement que je suis « tombée » dans la formation et que mes différents emplois prévoyaient des déplacements et des accompagnements au changement.
Mais avec la casquette de maman, les choses ont commencé à changer. Pas pour mon premier enfant car j’étais en pleine époque wonderwoman 😉 ! Mais pour le deuxième, j’ai perdu une partie de mes pouvoirs. Même si je continuais à arborer fièrement le diadème et les bracelets, je n’enfilais plus ma cape aussi vite…
A aucun moment je ne m’étais posée pour faire le point sur l’équilibre de vie que je souhaitais et la réalité de ce que je faisais de ma vie… Alors que j’avais toujours eu pour objectif une belle qualité de vie, je n’avais pas pris en compte tous les éléments et la qualité ne cessait de se dégrader.
Alors oui, il est primordial de tenir compte de notre vie dans sa globalité lorsque nous remplissons la sphère de notre Ikigaï : ce pour quoi je peux être rémunérée ! Pour cela, je vous propose 2 questions qui m’ont bien aidée :
- Qu’est-ce que je peux faire d’autre que mon métier actuel ou celui auquel je me destine ? C’est une adaptation du fameux « quoi d’autre est possible » de l’approche d’Access Consciousness. Ce type de questions nous permet d’ouvrir le champ des possibles. Nous sommes ensuite réceptives aux opportunités que la vie met sur notre chemin. Alors que se limiter à une seule réponse nous « coince ». La solution nous apparaît comme étant la seule et unique possible.
- Comment je peux améliorer ce que j’ai déjà ? Là encore la question ouverte permet une multitude de possibilités !
Votre dernier cercle de l’Ikigaï : ce pour quoi je peux être payée est rempli, reste maintenant à croiser tous les éléments pour faire ressortir votre Ikigaï ! D’abord en prenant les intersections de 2 cercles à la fois pour déterminer vos passions, vocations, missions et professions. Puis en faisant des liens entre ces éléments pour arriver à votre Ikigaï du moment ! Vous allez ainsi découvrir un ou plusieurs fils conducteurs à tirer pour avancer sur le chemin de votre raison de vivre avec une belle joie de vivre en prime !
Et maintenant place à la surprise !!
Formation « Découvrez votre Ikigaï pour donner plus de sens à votre vie »
Comme je vous le disais en préambule, j’ai mis du temps à écrire cet article pour une bonne raison ! Arrivée au quatrième cercle de l’Ikigaï, certaines choses me sont apparues clairement, et j’ai voulu les tester au plus vite. Alors j’ai saisi les opportunités qui se présentaient à moi.
J’en parlerai plus longuement dans un nouvel article. Mais en résumé :
- Je viens de valider ma licence 2 de psychologie
- Je termine ma formation de formateur d’adultes (même avec mon parcours déjà très orienté formation, j’en ressentais le besoin et je suis ravie d’avoir fait ce choix !)
Tout ce que j’entreprends depuis des années maintenant est lié à une quête de sens insatiable. Et grâce à la méthode de l’Ikigaï, la direction à donner à ma vie s’est affinée et j’y vois beaucoup plus clair ! Alors j’ai choisi pour le dernier projet de ma formation de formateur de créer une formation sur l’Ikigaï !
Je teste actuellement la première version de cette formation pour ensuite pouvoir la proposer sous plusieurs formats : en visioconférence en petits groupes, en e-learning avec possibilité de mentorat et en blended (format mixte e-learning et visioconférence).
J’espère que cette série d’articles vous a permis d’avancer sur le chemin de votre Ikigaï ! Partagez votre principale difficulté en laissant un commentaire ou par le formulaire de contact, je serai ravie de pouvoir vous aider !
Merci ! ♥♥♥
Images Pixabay : Tumisu, mohamed Hassan, Peggy und Marco Lachmann-Anke, Gerd Altmann, Dean Moriarty et Dirk Wouters
bonjour,
cela parait super!
je vais partager 😉
Merci Alice ! C’est une super méthode, je confirme !
Merci Valérie pour ce super article ! Comme tu le dis, l’argent ne devrait pas être un tabou. Chacun(e) a le droit d’être payé pour la valeur qu’il apporte. En tout cas, je suis ravie que cette quête vers l’ikigaï aie donné plus de sens à tes projets. Bon courage pour la formation que tu mets en place !
Merci Mélissa ! Oui la quête de l’Ikigaï est pour moi une très belle aventure, c’est pour cela que je veux partager cet outil !
Bonjour, merci pour cet article complet qui permet de mieux connaître cette méthode et qui je trouve est incroyablement nécessaire. On ne se pose c’est question que trop tardivement je trouve et on passe à côté de quelques belles années. Mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais !!
Merci Marina ! Peut-être que pour certains il est nécessaire de ressentir de l’inconfort voire même de grosses difficultés pour chercher une autre façon de vivre. Car selon l’environnement dans lequel on a vécu enfant, « faire autrement » n’est pas une option envisageable… Et je crois qu’on ne passe jamais vraiment à côté de belles années de sa vie, ces années nous apportent aussi beaucoup (c’est mon côté résilient qui parle ;))!
Bonjour,
C’est une excellente approche pour être aligné dans tous ce que l’on fait 🚀
Merci Pierre Christophe ! Tout à fait d’accord ! L’Ikigaï apporte alignement et sérénité !
Bonjour Valérie, félicitations pour la validation de ta licence ainsi que l’aboutissement de ta formation, bravo 🙂
Merci pour cet article riche en conseils pour nous aider à compléter la partie « ce pour quoi je peux être rémunéré » de l’Ikigaï, cette partie est en lien direct comme tu l’as si bien souligné, avec notre valeur, notre estime de soi.
Souvent lorsque l’estime de soi n’est pas élevée, on croit qu’il faut être au top dans son domaine pour pouvoir proposer ses services à la vente. En réalité, il suffit simplement d’être suffisamment compétent pour apporter quelque choses aux autres et à soi-même, en accord avec ce que l’on est et ce que l’on souhaite
Belle continuation Valérie
Merci Houria ! Oui je crois effectivement qu’il est possible d’apporter quelque chose aux autres sans être spécialiste-experte d’une thématique. C’est plus humain et il y a moins de décalage que lorsqu’un novice et un expert essayent de communiquer…
Belle continuation également !
Savoir quelle activité faire et quel revenu en dégagé est une excellente question … qui demande du temps pour y réfléchir et surtout une expérience préalable de la vie afin de faire des choix en pleine conscience. Pour ma part je me suis posé la question vers mes 45 ans et j’en suis arrivé à la conclusion que jusque là j’avais tout fait pour gagner ma vie et que dorénavant il étant temps de ne pas la gâcher.
J’ai mis quelques années, je ne connaissais pas l’Ikigaï, mais les principes de mes réflexions ont été trés similaires … aujourd’hui je vis avec des revenus et des activités qui me permettent d’être confortable dans mon corps, ma tête et mon esprit 😉
Merci pour ce bel article et au plaisir de lire les prochains.
Merci Eric pour ce partage d’expérience !
Effectivement ce cheminement de transformation demande du temps et beaucoup de douceur envers soi-même. Au début j’étais dans l’impatience, dans le besoin d’être « bien occupée » comme toujours ! Et puis petit à petit j’ai appris à être seule avec moi-même et à apprécier ces moments privilégiés… à lâcher prise tout simplement 😉
Bonne continuation !
J’ai toujours rêvé d’être payée pour être moi-même…je pense être sur le chemin de l’Ikigaï !
Merci pour ce commentaire Céline et bonne route sur le chemin de l’Ikigaï !
je viens de découvrir ta série d’articles (j’ai lu les 5 à la suite 🤣) car je prépare moi aussi une formation basée sur l’ikigai, je trouve que ce que tu apportes sur ce dernier élément est très intéressant par rapport ) la valeur qu’on se donne, merci,
au plaisir d’échanger sur le sujet 😁
Merci Caroline pour ce commentaire !
Je pense effectivement qu’il est possible de croiser l’Ikigaï avec d’autres disciplines pour enrichir l’approche (la psychologie positive ou différentielle par exemple). Mon offre de formation sur l’Ikigaï va évoluer avec tout ce que j’étudie en licence de psycho notamment. C’est ce que j’aime avec ce genre de thématique, on n’a jamais fini de l’explorer si on suit toutes ses facettes !
Je serai ravie d’échanger sur le sujet avec toi !
Bonjour Valérie,
S’il y a encore une possibilité de m’intégrer dans le groupe pour tester la première version de cette formation que tu finalises en ce moment, ce serait un grand plaisir pour moi ! J’ai lu tes différents articles en diagonale durant les mois de mai-juin et les gardais bien au chaud dans un coin de ma tête pour pouvoir les découvrir plus en profondeur à présent que ma session de formation d’adultes en recherche d’emploi est terminée.
Une amie m’a offert le livre « Ikigaï », je lis beaucoup et écoute et échange pas mal tous ces temps-ci au sujet du développement personnel, univers fascinant et tellement illimité!
Je te remercie du fond du coeur pour ces partages si riches et précieux que tu nous offres!
Bonjour Stéphanie,
Merci pour ton commentaire, je suis heureuse que les articles du blog te plaisent !
Je te rejoins complètement sur le fait que le développement personnel ouvre un nouvel univers extraordinaire à qui s’y engouffre ! Quand je suis « tombée dedans », il y a plusieurs années déjà, j’ai adoré ce que je découvrais par la lecture puis les échanges en formations. Et depuis je me laisse entraînée par ma faim insatiable de compréhension et de découverte !
Merci pour ton intérêt pour la formation, elle aura lieu en fin de semaine prochaine. J’ai constitué un petit groupe, mais il y a encore quelques inconnues car certaines seront au camping avec des connexions internet peut être trop faibles… Donc je refais un point en début de semaine avec elles, et je reviens vers toi si j’ai un désistement.
Je pense ensuite créer cette formation en e-learning avec des sessions de mentorat en individuel ou collectif, j’aurai donc encore besoin de testeuses un peu plus tard !
Bon dimanche et à bientôt !